Festival "cinéma du réel"

(actualisé le )

Mercredi 11 mars, la classe de 2nde 2 accompagnée par Isabelle Lermigeaux et Mme Hanin a participé au festival du cinéma du réel au Centre Beaubourg.
Voici les impressions de quelques élèves sur les trois films documentaires projetés :

Travail sur le Festival « Cinéma du Réel » :

Le mercredi 11 mars était la journée idéale pour notre sortie à Beaubourg.Tout

d’abord, j’ai vraiment apprécié le moment passé dans le RER, ainsi que sur le chemin de Beaubourg, on a pu être ensemble, mais dans un cadre extérieur au lycée qui nous a fait du bien. De la station du RER à Beaubourg, j’ai adoré notre petite marche, les élèves qui connaissaient ce coin de Paris l’ont présenté aux autres, c’est une manière agréable de faire et de redécouvrir Paris. Il faisait un temps magnifique, c’était un moment très sympathique.

Ensuite, nous sommes entrés dans Beaubourg, ce n’était pas la première fois que j’y allais, mais j’adore toujours autant son architecture. Nous avons patienté dans une salle, et nous sommes entrés dans la salle de projection.

Le premier film était Ecchymoses de Fleur Albert. Ce documentaire à été tourne dans deux collèges du Jura. Il présente une infirmière scolaire, qui prend son travail très à cœur. Elle fait face aux plus petits des problèmes de collégiens classiques, mais rencontre aussi des adolescents en très grande difficulté. Des maux de tête pour « sécher » les contrôles à la tumeur au cerveau ; ou des règles douloureuses d’une élève à l’anorexie d’une autre,

Annick voit passer du monde dans son infirmerie. On assiste à des scènes très dures : mort d’un parent, départ d’une élève pour un hôpital psychiatrique…On remarque toutes sortes de tourments que les adolescents du monde d’aujourd’hui peuvent rencontrer.

Ce documentaire m’a beaucoup touché, il montre que le moindre problème non résolu peut aboutir à un mal énorme. Que les adolescents, comme nous, ne se confient pas assez et s’enferment sur eux-même au détriment de leur santé.

Marie HINGOT 2nde2

Cinéma du Réel

Journée à Beaubourg

Le premier film que nous avons vu est Ecchymoses de Fleur Albert.

Ce film nous met dans la peau d’une infirmière consultant dans deux collèges du Jura. Il est composé de différentes consultations médicales avec des enfants qui ont chacun leurs problèmes.

J’ai apprécié ce film pour l’honnêteté qu’il dégage mais aussi parce qu’il m’a montré une autre facette de l’infirmerie dans le milieu rural.

En commençant la projection, je pensais que j’allais encore voir un documentaire sur des enfants malheureux, qui ont de nombreux problèmes et qui n’ont aucun moyen de s’en sortir. Je m’imaginais aussi que l’on verrait leur vie de famille, les difficultés de la campagne et qu’on allait nous donner une image pathétique. Au contraire, j’ai découvert un film différent. Celui-ci se passait toujours dans l’infirmerie afin d’éviter d’être voyeur. Il m’a en même temps montré le second rôle de l’infirmière ; le rôle où elle sert de psychologue, de personne neutre à qui on peut parler et qui sait répondre et défaire les problèmes.

Ce film m’a aussi touché car j’ai été étonné par les souffrances éprouvées par ces jeunes qui ne savent jamais à qui parler, qui sont obligés de se confier à une infirmière qu’ils ne connaissent que très peu. Je ne m’attendais pas à voir des élèves se livrer autant.

J’ai bien aimé la façon dont le film a été tourné. Ce n’était pas un film basé sur un « scénario » mais sur un projet. Fleur Albert voulait nous montrer ce qu’était le rôle d’une infirmière.

Ce que je peux reprocher à ce film, est sa durée. L’histoire devenait un peu répétitive et longue.

OBAMA SONG

J’ai adoré ce film car il nous montre la joie, la communion, la fête que l’élection de Barack Obama a provoquée. Tout au long du film, la musique joue un rôle très important car lorsqu’elle est coupée pendant un moment, cela nous laisse penser à un événement grave qui vient de se produire. On ne sait pas si c’est de la tristesse ou de la joie sur les visages. Durant toute la projection j’avais la chair de poule. On voyait à l’écran des scènes de joies intenses. Il y avait une communion du peuple américain. Tout le monde descendait dans les rues pour danser, faire de la musique et oublier les différences. A la fin du film, l’image passe du noir et blanc à la couleur. Cela symbolise pour moi, que la nation américaine est un peuple unique qui s’identifie à Obama malgré sa couleur de peau.

J’ai vraiment apprécié cette journée car j’ai découvert un cinéma que je ne connaissais vraiment pas. Cette sortie m’a changé du quotidien habituel de la semaine.

Anatole MAIZIERES 2nde2

FESTIVAL « CINEMA du REEL » à BEAUBOURG

Le premier film est un exemple parfait de film documentaire, ce film s’appelle Ecchymoses, il fait partie du panorama français. Ce film n’a pas été écrit, ce n’est pas un film de scénario, et c’est là toute sa qualité.

Ce film montre quel est le rôle de l’infirmière dans un collège. Une personne était équipée d’une caméra et restait pendant des heures dans l’infirmerie pour filmer les élèves, si je me souviens bien, il y a eu environ 60 heures de film qu’il a fallu trier pour ne garder que ce que les producteurs voulaient.

Donc la personne filmait les jeunes qui rentraient à tour de rôle dans l’infirmerie pour demander conseil, leurs problèmes étaient plus ou moins complexes, plus ou moins faciles à comprendre, mais la plupart des jeunes que l’on a vu avait hélas de graves problèmes… Leurs histoires, leur vie ont vraiment touché le spectateur qui prenait part à leurs soucis et se voyait peut-être comme l’infirmière, du moins dans le rôle d’écoute et de compréhension.

Je pense que cela fut difficile pour la personne qui devait les filmer au point de vue émotionnel tellement leurs problèmes était « violents »…

Ce film montre de manière certaine, le mérite qu’à cette infirmière et qu’ont beaucoup d’infirmières dans les collèges et lycées. Les collégiens eux aussi ont fait preuve de beaucoup de courage pour affronter leurs émotions face à une caméra ou un écran et je pense que le mérite de ce film revient tout droit à ces personnes et ensuite, aux gens qui ont monté ce film. J’ai beaucoup apprécié ce film en tant que ex collégien et en tant que lycéen, car il rappelle aussi nos moments difficiles mais peut aussi nous donner du courage…

Lorsque nous sommes sortis de la salle, il était dans les environs de 13h30 et la faim commençait fortement à se faire sentir. Je suis donc allé avec quelques copains manger au kebab du coin. Après avoir mangé et s’être auto-interrogé sur le premier film, nous sommes retournés dans l’enceinte du centre Pompidou pour y voir les deux autres films. Les films étaient Obama song et Americana.

Obama song racontait la nuit qui suivait l’investiture du président américain Barack Obama. Je n’ai pas apprécié ce court-métrage car pour moi, cela faisait trop de « Obama », on l’a vu à la télé, on l’a entendu à la radio alors le voir encore au cinéma cela m’a ennuyé. Mais on peut dire que ce film est bien, tout d’abord parce qu’il montre la joie des gens et puis j’ai apprécié les dernières secondes de ce film, car c’est la scène finale où l’on voit le trottoir avec un morceau de papier qui est porté par le vent. J’ai interprété ce passage de cette manière : « et maintenant, et demain ? », ce qui ajoute une pointe de réflexion à l’idole qui est faite d’Obama.

Geoffroy BACCIALONE 2nde2

FESTIVAL CINEMA du REEL à BEAUBOURG

A 13h20 nous sommes allés déjeuner. Je n’ai pas trop eu le temps de visiter les alentours car il ne fallait pas trop s’éloigner. En effet, la prochaine séance « Obama song » de Dominique Dubosc avait eu lieu a 14h45. Quand nous sommes arrivés dans la salle, j’ai appris que le film serait automatiquement suivi d’un autre nommé « Americana » de Topaz Adizes.

« Obama song » fait lui aussi partie du panorama français. Ce film de 17 minutes a une particularité : il est en noir et blanc. Dominique Dubosc a non seulement réalisé ce film mais l’a aussi monté. Le soir du 4 novembre 2008, soirée au cours de laquelle Barack Obama fut élu Président des Etats-Unis, différentes villes fêtent sa victoire. Dominique Dubosc lui a décidé d’embarquer sa caméra à Harlem et de se fondre dans la foule joyeuse.

J’ai vraiment beaucoup aimé ce film. Certes il était court mais très intéressant.

Dans le film j’ai pu apercevoir tellement de gens de la communauté noire des Etats-Unis heureux que j’avais l’impression de partager leur bonheur. Les uns dansaient, les autre chantaient et jouaient de la musique et même pleuraient. Cela me faisait plaisir de voir toutes ces personnes émues criant « Yes we can » ou « We did it » durant cet événement. J’aurais vraiment aimé participer à cette soirée.

Kevin CAROTINE 2nde2

Festival du Cinéma du Réel

AMERICANA (86 min)

C’est celui que j’ai préféré car il est peut-être plus complet et intéressant à voir, on essaye de nous faire comprendre quelque choses à travers ces reportages, il donne à réfléchir sur un sujet qui fait polémique depuis un moment : la guerre.

Au-delà des deux adolescents issus d’une petite ville de Californie souhaitant s’engager dès l’obtention de leur diplôme au lycée, on nous montre les différents avis concernant la guerre : d’un côté les soldats américains dévoués à défendre et protéger leur pays, en effet on peut voir certains en témoigner lors de la participation des deux jeunes adolescents à une émission de radio ou encore un des pères des futurs soldats qui montrera la liste de toutes les personnes mortes au combat des différentes guerres à son jeune fils afin de lui parler de l’importance de sa décision à s’enrôler dans l’armée.

Mais, d’un autre côté, on nous parle aussi des dégâts causés par les différentes guerres menés par les Américains. On se retrouve notamment au Japon (Hiroshima) où est interviewé un ancien rescapé de la bombe : il nous parlera des difficultés qu’il a eu à pardonner aux Américains. Or on sait que ce n’est pas toujours le cas, dans la plupart des endroits touchés par ces guerres, notamment au Vietnam, à Istanbul ou encore à Belgrade (ex-Yougoslavie)on trouve des témoignages toujours présents de ces guerres, on verra notamment quelques plans de la capitale Serbe portant encore les stigmates des bombardements de l’OTAN en 1999 ou encore la discussion entre un jeune américain et un jeune serbe qui lui répliquera : "on veut la liberté, pas la vôtre".

Emilie Dubois, 2° 2

AMERICANA FESTIVAL « CINEMA du REEL »

Le dernier film, « Americana » m’a également beaucoup touchée. Il raconte un morceau de vie de deux jeunes adultes américains. Ils vivent tous deux dans des atmosphères différentes. L’un a une mère atteinte du cancer. Il est surtout porté sur sa famille et a l’air d’être un jeune homme bien assidu. L’autre, plus attaché à ses amis, n’a pas de famille. Il a l’air plus populaire. Ils poursuivent pourtant le même rêve : intégrer l’armée américaine.

Durant le film, on les voit vivre leurs dernières années de lycée et préparer leur entrée dans le monde des adultes. Leur choix de partir faire la guerre est maintes fois controversé. On les voit donc essayer de se battre pour pouvoir défendre leurs idées.

On voit également des situations dans d’autres pays où des gens venant de pays plus pauvres parlent des américains. On se rend compte qu’un grand nombre d’entre eux ont des préjugés et assument avec fierté et acharnement un clair anti-américanisme car ils se basent sur leur politique réactionnaire. Il est vrai que les Etats-Unis ont mené de nombreuses guerres ces dernières années. Pourtant ils ne doivent pas généraliser : tous les américains ne sont pas comme ça.

Pour en revenir à nos deux étudiants, ils suivent des entraînements, passent des examens, font des entretiens… Ils finissent finalement tous deux à intégrer l’armée américaine. J’ai beaucoup aimé ce long-métrage car le sujet est intéressant et il prouve que les gens souhaitant partir à la guerre ne sont pas uniquement des gens sans cœur, des « machines à tuer ».

A la fin de la dernière séance, j’étais très contente de cette journée passée à regarder ces longs-métrages qui sortent de l’ordinaire. En effet, je n’ai pas l’habitude de regarder ce genre de film.

Daphné
HUMBERT
HANIN Aurélie 2nd 2

Festival du Cinéma du Réel

Compte-rendu de la journée à Beaubourg

Le mercredi 11 Mars nous avons participé avec notre professeur principal, Madame Lermigeaux, au Festival « Cinéma du réel » à Beaubourg.

Nous avions rendez-vous à la gare RER de Meudon à 9h15. Nous étions tous à l’heure, heureux de pouvoir passer cette journée ensemble.

Nous avons pris le premier train en direction de Paris. Nous nous sommes répartis sur les deux niveaux du train et nous avons parlé de l’organisation de la journée et échangé de la musique sur nos Ipod. Il faisait très beau, nous étions impatients d’arriver à Beaubourg.

Nous sommes descendus à la station Saint-Michel et nous avons marché jusqu’à Beaubourg.

Nous étions un peu en avance, aussi nous avons dû attendre avant de pouvoir rentrer dans le Centre d’Art.

On nous a ensuite installés dans la petite salle où l’organisatrice du Festival nous a expliqué le déroulement de la journée et donné quelques informations sur les films que nous devions voir.

C’était la première fois que je participais à un Festival de ce type. J’étais impatiente et intriguée de voir à quoi ressemblaient les gens qui étaient chargés de juger les films qui nous seraient présentés.

Le premier film, « Ecchymoses » de Fleur Albert, tourné en 2008 dans le Jura, relatait la journée d’une infirmière en poste sur deux collèges. Elle devait faire face à des cas difficiles (anorexie, boulimie, tentative de suicide, tumeur au cerveau, viol, ...). J’ai trouvé ce film intéressant et captivant. J’ai surtout aimé le personnage de l’infirmière, son implication auprès des élèves. Par contre, je ne me suis pas retrouvée dans les personnages des élèves.

Pour nous les journées de cette infirmière semblent bien différentes de celles de l’infirmière de Rabelais !

D’abord, elle doit se rendre d’un collège à l’autre, par tout temps, ce qui ne lui facilite pas sa vie !

Ce qui m’a le plus surprise, c’était la confiance qui semblait régner entre elle et les élèves qui venaient la voir. Ils n’hésitaient pas à lui parler de leurs vies intimes, de leurs secrets, de leur malaise. Je pense que pour nous ce serait beaucoup plus difficile. En plus, elle semblait les connaître parfaitement, s’intéresser individuellement à chacun d’eux, ce qui est très rare dans un lycée comme le nôtre...nous sommes aussi beaucoup plus nombreux !

J’ai été à la fois intéressée et choquée par la présentation qui en a été faite. Pour moi, les adolescents de cet âge ont souvent du mal à parler des sujets qui les préoccupent, et de plus, j’ai été surprise du rôle important que jouait l’infirmière dans ces établissements.

Après la diffusion du film, la réalisatrice est venue pour répondre aux questions des participants.

Plusieurs élèves étaient intrigués par le choix de la région, de ces établissements, de cette infirmière, et voulaient savoir surtout si les élèves choisis avaient spontanément accepté de jouer leur rôle, si des passages avaient été censurés.

Nous avons eu ensuite une courte pause, le temps de manger au Mac Do le plus proche. Nous étions plusieurs de notre classe à nous y retrouver !

L’après-midi, nous étions tous au rendez-vous fixé par notre professeur. Cette fois, nous devions nous rendre dans la grande salle parce que nous n’étions pas uniquement entre élèves, il y avait aussi dans le public des membres du jury chargés d’apprécier les films qui seraient diffusés.

Les premiers rangs leur étaient réservés. Nous nous sommes installés au fond de la salle, entre nous. Nous avons eu une courte introduction des deux films que nous allions voir : le premier, très court, intitulé « Obama Song », puis un film plus conséquent « Americana ».

« Obama song » de Dominique Dubosc, relate la nuit de l’élection de Barack Obama.Il a été tourné le soir du 4 Novembre 2008, à Harlem.

Nous avons pu voir la foule enthousiaste, les américains qui défilent dans les rues en chantant.

On les voit se prendre en photo dans les rues comme s’il fallait de toute urgence fixer le moment présent. Nous avons l’impression de revivre l’évènement ! Il n’y a presque pas de paroles, seuls ces mêmes mots reviennent en permanence : »Yes, we can », « Yes, we did »...Dans ce film, tourné en noir et blanc, on ne voit pas la différence entre le peuple noir et le peuple blanc, cela représente bien l’unité de l’Amérique.

Après une courte interruption, les lumières se sont à nouveau éteintes et nous avons assisté à la projection du film « Americana » de Topaz Adizes,tourné en 2009 et qui appartient à la compétiton internationale.

Ce film était en version originale, en langue anglaise, avec des sous-titres en français. Comme nous étions au fond de la salle, il n’a pas toujours été possible de lire les sous-titres. Nous avons donc essayé de comprendre les paroles, mais avec l’accent américain, ce n’était pas très facile.

Ce film met en scène deux jeunes américains qui souhaitent s’engager dans l’armée. Il a été tourné en 2001, peu après les attentats du 11 Septembre. Il aborde la question de l’identité américaine.

Les personnages principaux sont deux jeunes, issus de familles modestes, qui viennet de terminer leurs études secondaires. Ils vivent dans une petite ville de Californie, Needles.

Leurs motivations sont différentes, leur profil aussi. L’un des deux personnages est fiancé, sa mère est très malade – on apprend même à la fin du film qu’elle est décédée – Il veut poursuivre ses études et pense ainsi pouvoir les financer grâce à sa solde.

L’autre, d’origine mexicaine, est un élève motivé. Il reçoit le prix attribué à l’élève le plus méritant lors de la remise des prix au sein de son Collège.

Ces deux jeunes n’abandonnent pas leur idée de s’engager dans l’armée même si tous ceux qui les entourent essaient de les en dissuader par tous les moyens.

Ils ne renonceront pas à leur projet et finiront par faire carrière dans l’armée américaine. Le film finit bien, on craignait que les deux jeunes ne soient tués, mais ce n’est pas le cas. Celui qui était fiancé, se marie, il ne renonce pas non plus à sa vie personnelle.

J’ai aimé ce film, surtout à cause de la détermination dont font preuve les deux jeunes américains. A notre époque les vocations dans l’armée ne sont pas fréquentes, de plus il s’agit de l’Amérique et le film montre bien que de nombreux soldats américains sont morts au cours des différents combats dans lesquels l’Amérique a été engagée : Seconde Guerre Mondiale, Guerre du Vietnam, Guerre de Corée.

La projection s’est terminée vers 17 heures. On nous avait proposé de voir un dernier film, mais aucun d’entre nous ne pouvait rester plus tard.

J’ai passé une bonne journée qui m’a permis aussi de réaliser que le métier de cinéaste n’est pas un métier facile, pas plus que le métier de critique de cinéma. En effet, il est fatigant d’assister à plusieurs projections au cours de la même journée.